Cet article qui vient de paraître dans le magazine Challenges met en avant notre vision chez Condair, bâtie sur les résultats de nombreuses recherches médicales et scientifiques réalisées à travers le monde entier, prouvant la nécessité de maintenir un bon taux d'humidité situé entre 40 et 60% RH au sein des bâtiments où nous passons la plus grande partie de notre vie.
Dans les bureaux ou les ateliers de travail, le chauffage pendant les mois d'hiver et la climatisation durant les mois les plus chauds contribuent à assécher l'air et à diminuer son taux d'humidité en dessous de 40%, ce qui est doublement néfaste :
- une diffusion des virus dans l'air plus longue dans le temps et plus large,
- notre système immunitaire respiratoire ne fonctionne pas de manière optimale
Sans compter tous les désagréments dûs à un air trop sec : sécheresse des yeux, de la peau et gorge irritée etc...
Sterling et al 1985
Examined the optimum range of humidity where risks from pathogens, biological contaminants and chemical reactions are minimized.
En savoir plusEtude sur la survie du Coronavirus en surface. Lisa Casanova - Publication mars 2020
Analyse de la survie et de l'inactivation des coronavirus sur des surfaces à différentes températures et humidités.
En savoir plusLowen et al 2007
Using guinea pigs Lowen et al showed that influenza virus is more readily transmitted from host-to-host at low relative humidity at 20°C.
En savoir plusYang W, Marr LC 2011
Modeled the size distribution and dynamics of 'flu virus emitted from a cough in domestic and public settings at 10-90%RH.
En savoir plusArundel et al 1986
Reviewed the evidence for the indirect effects of indoor relative humidity on health.
En savoir plusWilliam Lester 1948
Study using white mice to show the effect different humidity levels has on the infectivity of airborne influenza A virus.
En savoir plusMyatt TA et al 2010
Modeling analysis of the effect of a humidifier in a domestic environment and its impact on the survival of airborne influenza A virus.
En savoir plusShaman J et al 2010
Review of studies to explore the relationship between absolute humidity levels of air and airborne 'flu transmission and virus survival times.
En savoir plusDunklin EW, Puck TT 1948
Examined the decay rate of airborne bacteria at varying humidity levels and in different suspension solutions
En savoir plusYang W et al 2012
Examination of the viability of flu in droplets containing different solutes at varying humidity levels, to isolate their effects on the virus.
En savoir plusAlsmo T, Alsmo C 2016
Comparison of the humidity levels in two office buildings, one with natural ventilation and the other with mechanical ventilation.
En savoir plusKoep T et al 2013
Study of the viability of raising the humidity in classrooms through humidification to a level that would reduce the airborne survival rates of flu.
En savoir plusDietz L. et al 2020
Le but de cette revue scientifique était de fournir des conseils pratiques et réalisables aux décideurs de l'environnement bâti qui tentent de minimiser la transmission des maladies infectieuses par le COVID-19.
En savoir plusMetz J A, Finn A 2015
Étude sur la causalité entre l'humidité absolue et la « transmission de la grippe ».
En savoir plusNoti el coll. 2013
Des mannequins ont été utilisés avec des nébuliseurs pour « tousser » mécaniquement la grippe dans l'air et surveiller l'infectiosité à divers niveaux d'humidité et tailles de gouttelettes.
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